Jean-Baptiste Cognet est un musicien français basé à Saint-Étienne.
Il a étudié la musique au conservatoire de musique de Lyon, ainsi qu'à l'université Lumière Lyon 2.
Fondateur et membre des projets Walter Dean (performance audiovisuelle aux côtés de Guillaume Marmin et Carla Pallone) et Memorial* (performances poétiques et musicales aux côtés de Clément Bondu), Jean-Baptiste Cognet collabore également en tant que compositeur et interprète pour le théâtre (Caroline Guiela Nguyen, Thierry Jolivet, Marion Pellissier, Ambre Kahan, Laurent Brethome...), le cinéma (Adrien Selbert, Florian Bardet, Pierre Giafferi...) et plus récemment pour les arts numériques (Guillaume Marmin, David Debrinay...).
Articulé autour d'un procédé d'écriture répétitif, son travail se nourrit de sensations ambient, de textures noise, de synthétiseurs empreints de lyrisme, tout en faisant la part belle à l’héritage revendiqué de la pop jusqu'à la musique expérimentale.
Des grands ensembles (la fresque Nous qui avions perdu le monde pour 10 musiciens) aux petits formats (Regular en solo, ou Walter Dean en trio), sa musique évolue à travers un langage psychédélique effréné et réverbéré.
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Jean-Baptiste Cognet is a french musician based in Saint-Étienne (France).
He's graduated from Lyon conservatory and Lyon "Lumière" university.
Founder and member of Walter Dean project (audiovisual performance alongside Guillaume Marmin and Carla Pallone) and Memorial* (poetic and musical performances alongside Clément Bondu), Jean-Baptiste Cognet also collaborates as a composer and performer for the theater (Caroline Guiela Nguyen, Thierry Jolivet, Marion Pellissier, Ambre Kahan, Laurent Brethome..., cinema (Adrien Selbert, Florian Bardet, Pierre Giafferi ...) and more recently for digital arts (Guillaume Marmin, David Debrinay...).
Articulated around a repetitive writing process, his work feeds on ambient sensations, noise textures, lyrical synthesizers, while giving pride of place to the legacy claimed from pop to experimental music.
From large ensembles (the fresco Nous qui avions perdu le monde for 10 musicians) to small bands (Regular solo, or Walter Dean trio), his music evolves through an unbridled and reverberated psychedelic language.